Quand je fis le vide en moi
J’eus la crainte de voir changer
Les électrons pour du papier
Comme c’était à chaque fois
C’était à chaque fois que
L’on voyait clair comme dans sa peau
Maintenant il me semble que
C’est ici qu’il fait trop chaud
Ce fut la fin, la fin de tout
Ça me prit à la gorge, partout
C’était la fin du silencieux
Le ciel silence jusqu’à nous deux
Mais encore le vent souffla,
Souffla sans fin, sur moi siffla
Il prit la porte et les ciseaux
Les électrons s’en furent dans l’eau.